"Point De Suture" (2008) |
Содержание |
"Dégénération"
Sexy coma
Sexy trauma
Sexy coma
Sexy trauma
Sexy coma
Sexy trauma
Sexy coma
Sexy trauma
J'sais pas moi
Mais y faut qu'ça bouge
J'sais pas moi
Mais y faut qu'ça bouge
J'suis coma là...
Mais y faut qu'ça bouge
Faut qu'ça bouge
Faut qu'ça bouge
Sexy trauma
Sexy coma
Sexy trauma
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Test statique
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Extatique
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Test, test statiques
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Esthétique
Ou ou wa ou
Ou wa ou
Dégénération
Où où est où
Où est où est
Ma génération
Sexy coma
Sexy trauma
Sexy coma
Sexy trauma
J'sais pas moi
Mais y faut qu'ça bouge
J'sais pas moi
Mais y faut qu'ça bouge
J'suis coma là...
Mais y faut qu'ça bouge
Faut qu'ça bouge
Faut qu'ça bouge
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Test statique
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Extatique
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Test, test statiques
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Esthétique
Ou ou wa ou
Ou wa ou
Dégénération
Où où est où
Où est où est
Ma génération
"Appelle mon numéro"
Qui entre dans l’histoire
Entre dans le noir
Histoire d’y voir
Mon plus beau geste
J’ai un pillow du soir
Un pillow de star
Sans pillow je n’ai
Plus l’envie d’être
Qui entre dans l’histoire
Cache derrière un fard, noir
La peur des regards
Qui glissent et blessent
J’ai un pillow en plumes
En forme de lune
En forme de dune
Refais le geste
Qui entre dans l’histoire
Entre dans le noir
Velours d’un boudoir
Et pour le reste...
J’ai un pillow duvet
Sans pilosité
Sans pillow je n’ai
Plus rien à mettre
Allégorie, viens là
Délit de l’émoi
Mon au-delà, c’est l’i...
...vresse du geste
À la folie j’ai «l’a…llo»
Qui me dit : au lit, là!
L’embellie c’est l’o…
Reiller, de rêve
Entre dans le noir
Histoire d’y voir
Mon plus beau geste
J’ai un pillow du soir
Un pillow de star
Sans pillow je n’ai
Plus l’envie d’être
Qui entre dans l’histoire
Cache derrière un fard, noir
La peur des regards
Qui glissent et blessent
J’ai un pillow en plumes
En forme de lune
En forme de dune
Refais le geste
Qui entre dans l’histoire
Entre dans le noir
Velours d’un boudoir
Et pour le reste...
Appelle mon numéro
J’humeur à zéro
Appelle mon numéro
J’ai le sang si chaud
Appelle mon numéro
Viens dans mon sillage
Ni trop sage
Ni collage
Juste ce qu’il me faut
Appelle mon numéro
Compose ma vie
Appelle mon numéro
Fais-moi l’hallali
Appelle mon numéro
Donne-moi le «la»
Lalalala
Lalalala
Appelle-moi
J’ai un pillow duvet
Sans pilosité
Sans pillow je n’ai
Plus rien à mettre
Allégorie, viens là
Délit de l’émoi
Mon au-delà, c’est l’i...
...vresse du geste
À la folie j’ai «l’a…llo»
Qui me dit : au lit, là!
L’embellie c’est l’o…
Reiller, de rêve
Appelle mon numéro
J’humeur à zéro
Appelle mon numéro
J’ai le sang si chaud
Appelle mon numéro
Viens dans mon sillage
Ni trop sage
Ni collage
Juste ce qu’il me faut
Appelle mon numéro
Compose ma vie
Appelle mon numéro
Fais-moi l’hallali
Appelle mon numéro
Donne-moi le «la»
Lalalala
Lalalala
Appelle-moi
"Je m'ennuie"
La vie oscille à l’envi
Comme un pendule rouillé
Me balancer
De la tourmente à l’ennui
L’ennui naquit un jour gris
D’une uniformité que je
Sais invincible
Qu’on traîne toute sa vie
Toute sa vie durant
Obstinément
Sempiternelle rêverie
De l’ennui à Bovary
Vivre en beauté
Vivre en blessure
Sa finitude
Je m’ennuie
C’est le vide
Déesse
Détresse
Le spleen
C’est l’hymne
A l’ennui d’être
Je m’ennuie
Un néant béant
Petite nausée
Temps dilué
A l’infini
La vie oscille à l’envi
Comme un pendule rouillé
Me balancer
De la tourmente à l’ennui
L’ennui naquit un jour gris
D’une uniformité que je
Sais invincible
Je m’ennuie
C’est le vide
Déesse
Détresse
Le spleen
C’est l’hymne
A l’ennui d’être
Je m’ennuie
Un néant béant
Petite nausée
Temps dilué
A l’infini
Qu’on traîne toute sa vie
Toute sa vie durant
Obstinément
Sempiternelle rêverie
De l’ennui à Bovary
Vivre en beauté
Vivre en blessure
Sa finitude
Je m’ennuie
C’est le vide
Déesse
Détresse
Le spleen
C’est l’hymne
A l’ennui d’être
Je m’ennuie
Un néant béant
Petite nausée
Temps dilué
A l’infini
"Paradis inanimé"
Dans mes draps de chrysanthèmes
L’aube peine à me glisser
Doucement son requiem
Ses poèmes adorés
Dans mon lit, là, de granit
Je décompose ma vie
Délits, désirs illicites
L’espoir, le rien et l’ennui
Mais pour toujours
Pour l’amour de moi
Laissez-moi mon…
Emmarbrée dans ce lit-stèle
Je ne lirai rien ce soir
Ne parlerai plus, rien de tel
Que s’endormir dans les draps
Du noir
C’est le sombre, l’outre-tombe
C’est le monde qui s’éteind
L’épitaphe aura l’audace
De répondre à mon chagrin
L’aube peine à me glisser
Doucement son requiem
Ses poèmes adorés
Dans mon lit, là, de granit
Je décompose ma vie
Délits, désirs illicites
L’espoir, le rien et l’ennui
Mais pour toujours
Pour l’amour de moi
Laissez-moi mon…
Paradis inanimé
Long sommeil, lovée
Paradis abandonné
Sous la lune, m’allonger
Paradis artificiel
Délétère, moi délaissée
Et mourir d’être mortelle
Mourir d’être aimée
Emmarbrée dans ce lit-stèle
Je ne lirai rien ce soir
Ne parlerai plus, rien de tel
Que s’endormir dans les draps
Du noir
C’est le sombre, l’outre-tombe
C’est le monde qui s’éteind
L’épitaphe aura l’audace
De répondre à mon chagrin
Paradis inanimé
Long sommeil, lovée
Paradis abandonné
Sous la lune, m’allonger
Paradis artificiel
Délétère, moi délaissée
Et mourir d’être mortelle
Mourir d’être aimée
"Looking for my name (feat Moby)"
Voir la blessure
Oblique et dure
Du temps...obstinément
Is heaven a place ?
Oh ! I see the moon
I see no trace of you...
See the red upon the hill
See the death looking at me
I see no trace of you and me
Little me
Refais le rêve obscur d’une île
Des forêts secrètes aux villes
Qu’on parcourait seuls dans nos nuits
D’amour
Whisper words of desire
Take my hand, I’m standing there
Our soul so close on paradise
When winds go round and round
Je me dis, l’indigne horloge
Je me dis, le souffle est force
Qu’il nous bercera dans son lit
D’amour, de vie !
Oblique et dure
Du temps...obstinément
Is heaven a place ?
Oh ! I see the moon
I see no trace of you...
See the red upon the hill
See the death looking at me
I see no trace of you and me
Little me
Refais le rêve obscur d’une île
Des forêts secrètes aux villes
Qu’on parcourait seuls dans nos nuits
D’amour
Whisper words of desire
Take my hand, I’m standing there
Our soul so close on paradise
When winds go round and round
Je me dis, l’indigne horloge
Je me dis, le souffle est force
Qu’il nous bercera dans son lit
D’amour, de vie !
Looking for my name
Wherever you will be...
...Hold on to my prayer
Hold on to harmony
Looking for my name
Little you, little me
We belong together
Looking for my name
Wherever you will be...
...Hold on to my prayer
Hold on to harmony
Looking for me, looking for eternity
We belong together
"Point de suture"
Les jours de peine
Fredonnent un
Je ne sais quoi
La ritournelle
Des indécis, des quoi?
Par habitude
J’ai pris ce chemin
D’incertitude
Où mes va sont des viens
Jours de sagesse
La voie unie et droite
Mais l’homme doute
Et court
De multiples détours
Vague mon âme
Va, prends ton chemin
L’attente est sourde,
Mais la vie me retient
Les nuits sont chaudes
Mon sang chavire et tangue
Bateau fantôme
Qui brûle
Je suis tempête et vent
Ombre et lumière
Se jouent de l’amour
Mes vagues reviennent
Mes flots sont si lourds
Fredonnent un
Je ne sais quoi
La ritournelle
Des indécis, des quoi?
Par habitude
J’ai pris ce chemin
D’incertitude
Où mes va sont des viens
Jours de sagesse
La voie unie et droite
Mais l’homme doute
Et court
De multiples détours
Vague mon âme
Va, prends ton chemin
L’attente est sourde,
Mais la vie me retient
Prends-moi dans tes draps,
Donne-moi la main,
Ne viens plus ce soir,
Dis, je m’égare...
Dis moi d’où je viens
Ne dis rien, je pars
Rejoue-moi ta mort
Je m’évapore...
Des mots sur nos rêves
Déposer mes doutes
Et sur les blessures
Point de sutures
Vole mon amour
Refais moi l’amor
Confusion des pages
Je suis naufrage
Les nuits sont chaudes
Mon sang chavire et tangue
Bateau fantôme
Qui brûle
Je suis tempête et vent
Ombre et lumière
Se jouent de l’amour
Mes vagues reviennent
Mes flots sont si lourds
Prends-moi dans tes draps,
Donne-moi la main,
Ne viens plus ce soir,
Dis, je m’égare...
Dis moi d’où je viens
Ne dis rien, je pars
Rejoue-moi ta mort
Je m’évapore...
Des mots sur nos rêves
Déposer mes doutes
Et sur les blessures
Point de sutures
Vole mon amour
Refais moi l’amor
Confusion des pages
Je suis naufrage
"Réveiller le monde"
Fragile abîme
Pâle horizon
Son être se fige
C’est l’abandon
Les eaux qui souffrent en nous
Sont dérisions
Devant le souffle démon
De la soumission
Mettre en danger
Tous nos secrets
Ouvrir les portes
Diminuer l’obscurité
Si ce n’est vain
Pourquoi demain
C’est le tumulte, je sais
Je n’y vois plus
Que des anges aux pieds
Qui saignent
Aux cœurs cousus
Je suis un nom
Sommes légion...
Et de lumière
Sur les pavés
Coule le ré
De rébellion
De nos prières
Pâle horizon
Son être se fige
C’est l’abandon
Les eaux qui souffrent en nous
Sont dérisions
Devant le souffle démon
De la soumission
Mettre en danger
Tous nos secrets
Ouvrir les portes
Diminuer l’obscurité
Si ce n’est vain
Pourquoi demain
Réveiller le monde
Rêver d’un autre «été»
Être doit répondre
Réveiller l’humanité
Révolus les mondes
Sans une révolution
J’appelle au grand nombre
Le droit d’aimer
C’est le tumulte, je sais
Je n’y vois plus
Que des anges aux pieds
Qui saignent
Aux cœurs cousus
Je suis un nom
Sommes légion...
Et de lumière
Sur les pavés
Coule le ré
De rébellion
De nos prières
Réveiller le monde
Rêver d’un autre «été»
Être doit répondre
Réveiller l’humanité
Révolus les mondes
Sans une révolution
J’appelle au grand nombre
Le droit d’aimer
"Sextonik"
Sous tension
Mais pure
Nulle amertume
Un frisson
Sous pression
S’affine
L’endorphine
Compagnon
Sous caution
Les sages
Divine image
De l’addiction
Stimu-stimu-long
Vibrent les origines
Libertines
Libérons... Que j’aime le
D’ivoire ou de
Jade
Au verre aimable
Un simulacre
Stimule de nacre
Dis-moi comme
J’extase
Sculpté de bois
Réjouis-moi
Rejoue-le
Mais pure
Nulle amertume
Un frisson
Sous pression
S’affine
L’endorphine
Compagnon
Sous caution
Les sages
Divine image
De l’addiction
Stimu-stimu-long
Vibrent les origines
Libertines
Libérons... Que j’aime le
Sex sex sex sex sex tonik
Sex sex sex sex sex tonik
Serial joueur un jouet sans cœur
C’est le
Sex sex sex sex sex tonik
Sex sex sex sex sex tonik
Cyber skin serial lover killer
D’ivoire ou de
Jade
Au verre aimable
Un simulacre
Stimule de nacre
Dis-moi comme
J’extase
Sculpté de bois
Réjouis-moi
Rejoue-le
Sex sex sex sex sex tonik
Sex sex sex sex sex tonik
Serial joueur un jouet sans cœur
C’est le
Sex sex sex sex sex tonik
Sex sex sex sex sex tonik
Cyber skin serial lover killer
"C'est dans l'air"
Vanité... c’est laid
Trahison... c’est laid
Lâcheté... c’est laid
Délation... c’est laid
La cruauté... c’est laid
La calomnie... c’est laid
L’âpreté... c’est laid
L’infamie... c’est laid aussi
Les cabossés vous dérangent
Tous les fêlés sont des anges
Les opprimés vous démangent
Les mal-aimés, qui les venge?
Les calamités dérangent
Les chaotiques sont des anges
Pas comme les autres, démangent
Les bons apôtres je les mange
La fatuité... c’est laid
La tyrannie... c’est laid
La félonie... c’est laid
Mais la vie c’est ça aussi.
Tous les rebuts vous dérangent
Pourtant les fous sont des anges
Les incompris vous démangent
Que faire des ruses... Que fait le vent?
Trahison... c’est laid
Lâcheté... c’est laid
Délation... c’est laid
La cruauté... c’est laid
La calomnie... c’est laid
L’âpreté... c’est laid
L’infamie... c’est laid aussi
Les cabossés vous dérangent
Tous les fêlés sont des anges
Les opprimés vous démangent
Les mal-aimés, qui les venge?
Les calamités dérangent
Les chaotiques sont des anges
Pas comme les autres, démangent
Les bons apôtres je les mange
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est nécessaire
Prendre l’air
Respirer
Parfois piquer la poupée
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est millénaire
S’ennivrer
Coïter
Quid de nos amours passés
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est salutaire
Sauf qui peut
Sauve c’est mieux!
Sauf qu’ici, loin sont les cieux
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est nucléaire
On s’en fout
On est tout
On finira au fond du trou
Et... moi je chante
Moi je...m’invente une vie.
La fatuité... c’est laid
La tyrannie... c’est laid
La félonie... c’est laid
Mais la vie c’est ça aussi.
Tous les rebuts vous dérangent
Pourtant les fous sont des anges
Les incompris vous démangent
Que faire des ruses... Que fait le vent?
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est nécessaire
Prendre l’air
Respirer
Parfois piquer la poupée
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est millénaire
S’ennivrer
Coïter
Quid de nos amours passés
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est salutaire
Sauf qui peut
Sauve c’est mieux!
Sauf qu’ici, loin sont les cieux
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est nucléaire
On s’en fout
On est tout
On finira au fond du trou
Et... moi je chante
Moi je...m’invente une vie.
"Si j'avais au moins..."
Qui n’a connu
Douleur immense
N’aura qu’un aperçu
Du temps
L’aiguille lente
Qu’il neige ou vente
L’omniprésente
Souligne ton absence
Partout
Qui n’a connu
L’instable règne
Qui n’a perdu
Ne sait la peine
Plus de réserve, du tout
Ni dieu, ni haine, s’en fout
Plus de superbe, j’ai tout
D’une peine...
Un enténèbrement
Tous mes démons
Les plus hostiles
Brisent les voix
Les plus fragiles
De tous mes anges
Les plus dévoués
Et moi l’étrange paumée
Fiancée à l’enténèbrement...
Douleur immense
N’aura qu’un aperçu
Du temps
L’aiguille lente
Qu’il neige ou vente
L’omniprésente
Souligne ton absence
Partout
Qui n’a connu
L’instable règne
Qui n’a perdu
Ne sait la peine
Plus de réserve, du tout
Ni dieu, ni haine, s’en fout
Plus de superbe, j’ai tout
D’une peine...
Un enténèbrement
Si j’avais au moins
Revu ton visage
Entrevu au loin
Le moindre nuage
Mais c’est à ceux
Qui se lèvent
Qu’on somme «d’espoir»
Dont on dit qu’ils saignent
Sans un aurevoir, de croire
Et moi pourquoi j’existe
Quand l’autre dis je meurs
Pourquoi plus rien n’agite
Ton cœur...
Tous mes démons
Les plus hostiles
Brisent les voix
Les plus fragiles
De tous mes anges
Les plus dévoués
Et moi l’étrange paumée
Fiancée à l’enténèbrement...
Si j’avais au moins
Revu ton visage
Entrevu au loin
Le moindre nuage
Mais c’est à ceux
Qui se lèvent
Qu’on somme « d’espoir »
Dont on dit qu’ils saignent
Sans un aurevoir, de croire
Et moi pourquoi j’existe
Quand l’autre dis je meurs
Pourquoi plus rien n’agite
Ton cœur...