"Paradis inanimé"
Dans mes draps de chrysanthèmes
L’aube peine à me glisser
Doucement son requiem
Ses poèmes adorés
Dans mon lit, là, de granit
Je décompose ma vie
Délits, désirs illicites
L’espoir, le rien et l’ennui
Mais pour toujours
Pour l’amour de moi
Laissez-moi mon…
Emmarbrée dans ce lit-stèle
Je ne lirai rien ce soir
Ne parlerai plus, rien de tel
Que s’endormir dans les draps
Du noir
C’est le sombre, l’outre-tombe
C’est le monde qui s’éteind
L’épitaphe aura l’audace
De répondre à mon chagrin
L’aube peine à me glisser
Doucement son requiem
Ses poèmes adorés
Dans mon lit, là, de granit
Je décompose ma vie
Délits, désirs illicites
L’espoir, le rien et l’ennui
Mais pour toujours
Pour l’amour de moi
Laissez-moi mon…
Paradis inanimé
Long sommeil, lovée
Paradis abandonné
Sous la lune, m’allonger
Paradis artificiel
Délétère, moi délaissée
Et mourir d’être mortelle
Mourir d’être aimée
Emmarbrée dans ce lit-stèle
Je ne lirai rien ce soir
Ne parlerai plus, rien de tel
Que s’endormir dans les draps
Du noir
C’est le sombre, l’outre-tombe
C’est le monde qui s’éteind
L’épitaphe aura l’audace
De répondre à mon chagrin
Paradis inanimé
Long sommeil, lovée
Paradis abandonné
Sous la lune, m’allonger
Paradis artificiel
Délétère, moi délaissée
Et mourir d’être mortelle
Mourir d’être aimée
"L'Âme-Stram-Gram"
En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi, quand ga ne va pas
Il n'y a que ga qui nous gouverne
Dis moi combien de fois...
Partager mon ennui le plus abbyssal
Au premier venu qui trouvera sa valeur
J'... tout ce que tu confesse
Et les instants de l'ivresse
J'... tout ce que tu condamne
Tes ... te font du charme
C'est L'ÂME STRAM GRAM
En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi quand ga ne va pas
Et misse, et glisses ta col`re
Dans l'orifice ` moi
Des absents importants, une oreille amie
Confidences, survivants, on se psychanalyse
J'... tout ce que tu sussure
Et les instants ` leur mesure
J'... ce que tu .... complexe
Et les sens se manifestent
C'est L'ÂME STRAM GRAM
Am Stram Gram Pic Et Pic Et Collegram
Bourre Bourre Ratatam Am Stram Gram pic dam
Am Stram Gram Pic Et Pic Que voit-on
l` Bourre Bourre ..... Am Stram Gram pic dam
Dis moi, dis moi, quand ga ne va pas
Il n'y a que ga qui nous gouverne
Dis moi combien de fois...
Partager mon ennui le plus abbyssal
Au premier venu qui trouvera sa valeur
J'... tout ce que tu confesse
Et les instants de l'ivresse
J'... tout ce que tu condamne
Tes ... te font du charme
C'est L'ÂME STRAM GRAM
En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi quand ga ne va pas
Il n'y a que ga qui nous gouverne
Dis moi combien de fois...
En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi quand ga ne va pas
Et misse, et glisses ta col`re
Dans l'orifice ` moi
Des absents importants, une oreille amie
Confidences, survivants, on se psychanalyse
J'... tout ce que tu sussure
Et les instants ` leur mesure
J'... ce que tu .... complexe
Et les sens se manifestent
C'est L'ÂME STRAM GRAM
Am Stram Gram Pic Et Pic Et Collegram
Bourre Bourre Ratatam Am Stram Gram pic dam
Am Stram Gram Pic Et Pic Que voit-on
l` Bourre Bourre ..... Am Stram Gram pic dam
En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi quand ga ne va pas
Il n'y a que ga qui nous gouverne
Dis moi combien de fois...
En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi quand ga ne va pas
Il n'y a que ga qui nous gouverne
Dis moi combien de fois...
En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi quand ga ne va pas
Il n'y a que ga qui nous gouverne
Dis moi combien de fois...
En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi quand ga ne va pas...
"Je m'ennuie"
La vie oscille à l’envi
Comme un pendule rouillé
Me balancer
De la tourmente à l’ennui
L’ennui naquit un jour gris
D’une uniformité que je
Sais invincible
Qu’on traîne toute sa vie
Toute sa vie durant
Obstinément
Sempiternelle rêverie
De l’ennui à Bovary
Vivre en beauté
Vivre en blessure
Sa finitude
Je m’ennuie
C’est le vide
Déesse
Détresse
Le spleen
C’est l’hymne
A l’ennui d’être
Je m’ennuie
Un néant béant
Petite nausée
Temps dilué
A l’infini
La vie oscille à l’envi
Comme un pendule rouillé
Me balancer
De la tourmente à l’ennui
L’ennui naquit un jour gris
D’une uniformité que je
Sais invincible
Je m’ennuie
C’est le vide
Déesse
Détresse
Le spleen
C’est l’hymne
A l’ennui d’être
Je m’ennuie
Un néant béant
Petite nausée
Temps dilué
A l’infini
Qu’on traîne toute sa vie
Toute sa vie durant
Obstinément
Sempiternelle rêverie
De l’ennui à Bovary
Vivre en beauté
Vivre en blessure
Sa finitude
Je m’ennuie
C’est le vide
Déesse
Détresse
Le spleen
C’est l’hymne
A l’ennui d’être
Je m’ennuie
Un néant béant
Petite nausée
Temps dilué
A l’infini
"Appelle mon numéro"
Qui entre dans l’histoire
Entre dans le noir
Histoire d’y voir
Mon plus beau geste
J’ai un pillow du soir
Un pillow de star
Sans pillow je n’ai
Plus l’envie d’être
Qui entre dans l’histoire
Cache derrière un fard, noir
La peur des regards
Qui glissent et blessent
J’ai un pillow en plumes
En forme de lune
En forme de dune
Refais le geste
Qui entre dans l’histoire
Entre dans le noir
Velours d’un boudoir
Et pour le reste...
J’ai un pillow duvet
Sans pilosité
Sans pillow je n’ai
Plus rien à mettre
Allégorie, viens là
Délit de l’émoi
Mon au-delà, c’est l’i...
...vresse du geste
À la folie j’ai «l’a…llo»
Qui me dit : au lit, là!
L’embellie c’est l’o…
Reiller, de rêve
Entre dans le noir
Histoire d’y voir
Mon plus beau geste
J’ai un pillow du soir
Un pillow de star
Sans pillow je n’ai
Plus l’envie d’être
Qui entre dans l’histoire
Cache derrière un fard, noir
La peur des regards
Qui glissent et blessent
J’ai un pillow en plumes
En forme de lune
En forme de dune
Refais le geste
Qui entre dans l’histoire
Entre dans le noir
Velours d’un boudoir
Et pour le reste...
Appelle mon numéro
J’humeur à zéro
Appelle mon numéro
J’ai le sang si chaud
Appelle mon numéro
Viens dans mon sillage
Ni trop sage
Ni collage
Juste ce qu’il me faut
Appelle mon numéro
Compose ma vie
Appelle mon numéro
Fais-moi l’hallali
Appelle mon numéro
Donne-moi le «la»
Lalalala
Lalalala
Appelle-moi
J’ai un pillow duvet
Sans pilosité
Sans pillow je n’ai
Plus rien à mettre
Allégorie, viens là
Délit de l’émoi
Mon au-delà, c’est l’i...
...vresse du geste
À la folie j’ai «l’a…llo»
Qui me dit : au lit, là!
L’embellie c’est l’o…
Reiller, de rêve
Appelle mon numéro
J’humeur à zéro
Appelle mon numéro
J’ai le sang si chaud
Appelle mon numéro
Viens dans mon sillage
Ni trop sage
Ni collage
Juste ce qu’il me faut
Appelle mon numéro
Compose ma vie
Appelle mon numéro
Fais-moi l’hallali
Appelle mon numéro
Donne-moi le «la»
Lalalala
Lalalala
Appelle-moi
"XXL"
Qu'on soit de filles de
Cocktails, belles
Qu'on soit de filles des
Fleurs de poubelles
Toutes les mêmes
Qu'on soit des croissants de lune
Qu'on soit des monts de Saturne
Pour l'I.V.G. ou en bulle
Nous on a
Qu'on soit de filles de
L'histoire, rares
Qu'on soit des filles des
Fleurs de trottoirs
C'est comme ça
Qu'on soit Paul en Pauline
Faire la Une des magazines
Négative ou positives
Toutes les filles
Elles ont besoin d'amour
On a besoin d'amour
Besoin d'un amour XXL
On veut de l'amour XXL
On a besoin d'amour
Besoin d'une flamme
Et de vague à l'âme
On a besoin d'amour
Besoin d'un regard
De peau et de larmes
Besoin d'un amour XXL
Besoin d'une flamme
Et de vague à l'âme
On veut de l'amour XXL
Besoin d'un regard
De peau et de larmes
Cocktails, belles
Qu'on soit de filles des
Fleurs de poubelles
Toutes les mêmes
Qu'on soit des croissants de lune
Qu'on soit des monts de Saturne
Pour l'I.V.G. ou en bulle
Nous on a
On a besoin d'amour
On a besoin d'amour
Besoin d'un amour XXL
On veut de l'amour XXL
Qu'on soit de filles de
L'histoire, rares
Qu'on soit des filles des
Fleurs de trottoirs
C'est comme ça
Qu'on soit Paul en Pauline
Faire la Une des magazines
Négative ou positives
Toutes les filles
Refrain
Elles ont besoin d'amour
On a besoin d'amour
Besoin d'un amour XXL
On veut de l'amour XXL
On a besoin d'amour
Besoin d'une flamme
Et de vague à l'âme
On a besoin d'amour
Besoin d'un regard
De peau et de larmes
Besoin d'un amour XXL
Besoin d'une flamme
Et de vague à l'âme
On veut de l'amour XXL
Besoin d'un regard
De peau et de larmes
"A qoui Je sers.."
Poussière vivante,
Je cherche en vain ma voie lactée
Dans ma tourmente,
Je n'ai trouvé qu'un mausolée
Et je divague
J'ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais... des pages vides
Poussière errante,
Je n'ai pas su me diriger
Chaque heure demande pour qui,
Pour quoi, se redresser
Et je divague
J'ai peur du vide
Pourquoi ces larmes
Dis... à quoi bon vivre...
Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air
Je sers à rien du tout
Et qui peut dire dans cet enfer
Ce qu'on attend de nous, j'avoue
Ne plus savoir à quoi je sers
Sans doute à rien du tout
A présent je peux ma taire
Si tout devient dégout
Poussière brûlante,
La fièvre a eu raison de moi
Je ris sans rire, je vis,
Je fais n'importe quoi
Et je divague
J'ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais... des pages vides
Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air
Je sers à rien du tout
Et qui peut dire dans cet enfer
Ce qu'on attend de nous, j'avoue
Ne plus savoir à quoi je sers
Sans doute à rien du tout
A présent je peux ma taire
Si tout devient dégout
Je cherche en vain ma voie lactée
Dans ma tourmente,
Je n'ai trouvé qu'un mausolée
Et je divague
J'ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais... des pages vides
Poussière errante,
Je n'ai pas su me diriger
Chaque heure demande pour qui,
Pour quoi, se redresser
Et je divague
J'ai peur du vide
Pourquoi ces larmes
Dis... à quoi bon vivre...
Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air
Je sers à rien du tout
Et qui peut dire dans cet enfer
Ce qu'on attend de nous, j'avoue
Ne plus savoir à quoi je sers
Sans doute à rien du tout
A présent je peux ma taire
Si tout devient dégout
Poussière brûlante,
La fièvre a eu raison de moi
Je ris sans rire, je vis,
Je fais n'importe quoi
Et je divague
J'ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais... des pages vides
Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air
Je sers à rien du tout
Et qui peut dire dans cet enfer
Ce qu'on attend de nous, j'avoue
Ne plus savoir à quoi je sers
Sans doute à rien du tout
A présent je peux ma taire
Si tout devient dégout
"Pourvu qu'elles soient douces"
EH MEC!
Ton regard oblique
En rien n'est lubrique
Ta maman t'a trop fessé
Ton goût du revers
N'a rien de pervers
Et ton bébé n'est pas faché
Ton Kamasutra
A bien cent ans d'âge
Mon Dieu que c'est démodé
Le nec plus ultra
En ce paysage
C'est d'aimer les deux cotés
Ta majesté
Jamais ne te déplaces!
Sans ton petit oreiller
A jamais je suis
Ton unique classe
Tout n'est que prix à payer
Tu fais des Ah! des Oh!
Derrière ton ouvrage
Quand mon petit pantalon
Debout et de dos
Sans perdre courage
Dénude tes obsessions
OK!
Prose ou poésie
Tout n'est que prétexte
Pas la peine de t'excuser
Muse ou égérie
Mes petits fesses
Ne cessent de t'inspirer
Je fais de Ah! des Oh!
Jamais ne me lasse
Par amour pour un toqué
Ne faut-il pas que
Jeunesse se passe
A quoi bon se bousculer?
Ton regard oblique
En rien n'est lubrique
Ta maman t'a trop fessé
Ton goût du revers
N'a rien de pervers
Et ton bébé n'est pas faché
Ton Kamasutra
A bien cent ans d'âge
Mon Dieu que c'est démodé
Le nec plus ultra
En ce paysage
C'est d'aimer les deux cotés
Ta majesté
Jamais ne te déplaces!
Sans ton petit oreiller
A jamais je suis
Ton unique classe
Tout n'est que prix à payer
Tu fais des Ah! des Oh!
Derrière ton ouvrage
Quand mon petit pantalon
Debout et de dos
Sans perdre courage
Dénude tes obsessions
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un poète tu n'as que la lune en tête
Des mes rondeurs tu es K.O.!
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un esthète tu n'as gardé qu'un "air bête" ...
Tout est beau si c'est "Vue de dos" !
OK!
Prose ou poésie
Tout n'est que prétexte
Pas la peine de t'excuser
Muse ou égérie
Mes petits fesses
Ne cessent de t'inspirer
Je fais de Ah! des Oh!
Jamais ne me lasse
Par amour pour un toqué
Ne faut-il pas que
Jeunesse se passe
A quoi bon se bousculer?
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un poète tu n'as que la lune en tête
Des mes rondeurs tu es K.O.!
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un esthète tu n'as gardé qu'un "air bête" ...
Tout est beau si c'est "Vue de dos" !
"Point de suture"
Les jours de peine
Fredonnent un
Je ne sais quoi
La ritournelle
Des indécis, des quoi?
Par habitude
J’ai pris ce chemin
D’incertitude
Où mes va sont des viens
Jours de sagesse
La voie unie et droite
Mais l’homme doute
Et court
De multiples détours
Vague mon âme
Va, prends ton chemin
L’attente est sourde,
Mais la vie me retient
Les nuits sont chaudes
Mon sang chavire et tangue
Bateau fantôme
Qui brûle
Je suis tempête et vent
Ombre et lumière
Se jouent de l’amour
Mes vagues reviennent
Mes flots sont si lourds
Fredonnent un
Je ne sais quoi
La ritournelle
Des indécis, des quoi?
Par habitude
J’ai pris ce chemin
D’incertitude
Où mes va sont des viens
Jours de sagesse
La voie unie et droite
Mais l’homme doute
Et court
De multiples détours
Vague mon âme
Va, prends ton chemin
L’attente est sourde,
Mais la vie me retient
Prends-moi dans tes draps,
Donne-moi la main,
Ne viens plus ce soir,
Dis, je m’égare...
Dis moi d’où je viens
Ne dis rien, je pars
Rejoue-moi ta mort
Je m’évapore...
Des mots sur nos rêves
Déposer mes doutes
Et sur les blessures
Point de sutures
Vole mon amour
Refais moi l’amor
Confusion des pages
Je suis naufrage
Les nuits sont chaudes
Mon sang chavire et tangue
Bateau fantôme
Qui brûle
Je suis tempête et vent
Ombre et lumière
Se jouent de l’amour
Mes vagues reviennent
Mes flots sont si lourds
Prends-moi dans tes draps,
Donne-moi la main,
Ne viens plus ce soir,
Dis, je m’égare...
Dis moi d’où je viens
Ne dis rien, je pars
Rejoue-moi ta mort
Je m’évapore...
Des mots sur nos rêves
Déposer mes doutes
Et sur les blessures
Point de sutures
Vole mon amour
Refais moi l’amor
Confusion des pages
Je suis naufrage
"Nous souviendrons nous"
Aux vies qui s'abaissent à voir la mienne
Je sais
Qu'il me faudra prendre congé d'elles
Un jour ou l'autre
Nos vies sont des larmes d'aquarelle
Nous ne sommes reliés qu'à nous mêmes
Et si je perds la foi
En nous, en tout
C'est bien malgré moi
Nulle prière
A chacun de nos pas
Je doute de tout
Nous souviendrons nous de nous
Aux vies qui ont soutenu la mienne
Je n'ai
Qu'un long monologue poudré de neige
A partager
Nos vies qui s'écoulent chaque jour saignent
Nous ne sommes reliés qu'à nous mêmes
Je sais
Qu'il me faudra prendre congé d'elles
Un jour ou l'autre
Nos vies sont des larmes d'aquarelle
Nous ne sommes reliés qu'à nous mêmes
Et si je perds la foi
En nous, en tout
C'est bien malgré moi
Nulle prière
A chacun de nos pas
Je doute de tout
Nous souviendrons nous de nous
Aux vies qui ont soutenu la mienne
Je n'ai
Qu'un long monologue poudré de neige
A partager
Nos vies qui s'écoulent chaque jour saignent
Nous ne sommes reliés qu'à nous mêmes
"Rêver"
D'avoir mis son âme dans tes mains
Tu l'as froissé comme un chagrin
Et d'avoir condamné vos différences
Nous ne marcherons plus ensemble
Sa vie ne bat plus que d'une aile
Dansent les flammes, les bras se lèvent
Là où il va il fait un froid mortel
Si l'homme ne change de ciel
Pourtant; j'ai rêvé
À qoui bon abattre des murs
Pour y dresser des sépultures
À force d'ignorer la tolérance
Nous ne marcherons plus ensemble
Les anges sont las de nous veiller
Nous laissent comme un monde avorté
Suspendu pour l'éternité
Le monde comme une pendule
Qui s'est arrêtée
J'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer
J'avais rêvé du mot AIMER
Tu l'as froissé comme un chagrin
Et d'avoir condamné vos différences
Nous ne marcherons plus ensemble
Sa vie ne bat plus que d'une aile
Dansent les flammes, les bras se lèvent
Là où il va il fait un froid mortel
Si l'homme ne change de ciel
Pourtant; j'ai rêvé
J'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer
Au souffle du vent
S'élevait l'âme, l'humanité
Son manteau de sang
J'irai cracher sur vos tombeaux
N'est pas le vrai, n'est pas le beau
J'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer
À qoui bon abattre des murs
Pour y dresser des sépultures
À force d'ignorer la tolérance
Nous ne marcherons plus ensemble
Les anges sont las de nous veiller
Nous laissent comme un monde avorté
Suspendu pour l'éternité
Le monde comme une pendule
Qui s'est arrêtée
J'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer
Au souffle du vent
S'élevait l'âme, l'humanité
Son manteau de sang
J'irai cracher sur vos tombeaux
N'est pas le vrai, n'est pas le beau
J'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer
J'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer
J'avais rêvé du mot AIMER
"Ainsi soit-je"
Bulle de chagrin
Boule d'incertitude
Tant de matins
Que rien ne dissimule
Je veux mon hiver
M'endormir loin de tes chimères
Je sais bien que je mens
Je sais bien que j'ai froid dedans
Bulle de chagrin
Boule d'incertitude
De nos destins
Naît que solitude
Tu dis qu'il faut du temps
Qu'aimer n'est pas un jeu d'enfant
Je sais bien que tu mens
Mais je suis si seul à présent
Bulle de chagrin
Boule d'incertitude
Deux orphelins
Que le temps défigure
Je voudrais mon hiver
M'endormir loin de tes chimères
Tu sais bien que je mens
Tu sais bien que j'ai froid dedans.
Boule d'incertitude
Tant de matins
Que rien ne dissimule
Je veux mon hiver
M'endormir loin de tes chimères
Je sais bien que je mens
Je sais bien que j'ai froid dedans
Bulle de chagrin
Boule d'incertitude
De nos destins
Naît que solitude
Tu dis qu'il faut du temps
Qu'aimer n'est pas un jeu d'enfant
Je sais bien que tu mens
Mais je suis si seul à présent
Ainsi soit Je
Ainsi soit Tu
Ainsi soit Il
Ainsi moi je
Prie pour que Tu
Fuis mon exil
Mais quel espoir
Pourrais-je avoir
Quand tout est noir?
Ainsi soit Je
Ainsi soit Tu
Ainsi soit ma vie
Tant pis.
Bulle de chagrin
Boule d'incertitude
Deux orphelins
Que le temps défigure
Je voudrais mon hiver
M'endormir loin de tes chimères
Tu sais bien que je mens
Tu sais bien que j'ai froid dedans.
Refrain
"Libertine"
Cendre de lune, petite bulle d'écume
Pussée par le vent, je brûle et je m'enrhume
Entre mes dunes reposent mes infortunes
C'est nue, que j'apprends la vertu
Fendre la lune, baisers d'épine et de plume
Bercée par un petit vent, je déambule
La vie est triste comme un verre de grenadine
Aimer c'est pleurer quand on s'incline
Quand sur ton corps, je m'endors
Je m'évapore, bébé tu dors et moi j'attends l'aurore
Quand de mes lèvres tu t'enlèves, un goût amer
Me rappelle que je suis au ciel
Cendre de lune, petite bulle d'écume
Perdue dans le vent, je brûle et je m'enrhume
Mon corps à peur, la peau mouillée, j'ai plus d'âme
Papa, ils ont violé mon coeur
Pussée par le vent, je brûle et je m'enrhume
Entre mes dunes reposent mes infortunes
C'est nue, que j'apprends la vertu
Je, je suis libertine
Je suis une catin
Je, je suis si fragile
Qu'on me tienne la main
Fendre la lune, baisers d'épine et de plume
Bercée par un petit vent, je déambule
La vie est triste comme un verre de grenadine
Aimer c'est pleurer quand on s'incline
Je, je suis libertine
Je suis une catin
Je, je suis si fragile
Qu'on me tienne la main
Quand sur ton corps, je m'endors
Je m'évapore, bébé tu dors et moi j'attends l'aurore
Quand de mes lèvres tu t'enlèves, un goût amer
Me rappelle que je suis au ciel
Cendre de lune, petite bulle d'écume
Perdue dans le vent, je brûle et je m'enrhume
Mon corps à peur, la peau mouillée, j'ai plus d'âme
Papa, ils ont violé mon coeur
Je, je suis libertine
Je suis une catin
Je, je suis si fragile
Qu'on me tienne la main
"Sans Contrefaçon"
Tout seul dans mon placard
Les yeux cernés de noir
A l'abri des regards
Je défie le hasard
Dans ce monde qui n'a ni queue ni tê
Je n'en fais qu'à ma tête
Un mouchoir au creux du pantalon
Je suis chevalier D'Eon
Tour à tour on me chasse
De vos fréquentations
Je n'admets pas qu'on menace
Mes résolutions
Je me fous bien des qu'en-dira-t'on
Je suis caméléon
Prenez garde à mes soldats de plomb
C'est eux qui vous tueront
Puisqu'il faut choisir
A mots doux je peux le dire
Sans contrefaçon
Je suis un garçon
Et pour un empire
Je ne veux me dévêtir
Puisque sans contrefaçon
Je suis un garçon
Tout seul dans mon placard
Les yeux cernés de noir
A l'abri des regards
Je défie le hasard
Dans ce monde qui n'a ni queue ni tê
Je n'en fais qu'à ma tête
Un mouchoir au creux du pantalon
Je suis chevalier D'Eon
Puisqu'il faut choisir
A mots doux je peux le dire
Sans contrefaçon
Je suis un garçon
Et pour un empire
Je ne veux me dévêtir
Puisque sans contrefaçon
Je suis un garçon
Tour à tour on me chasse
De vos fréquentations
Je n'admets pas qu'on menace
Mes résolutions
Je me fous bien des qu'en-dira-t'on
Je suis caméléon
Prenez garde à mes soldats de plomb
C'est eux qui vous tueront
Puisqu'il faut choisir
A mots doux je peux le dire...
"Je te rends ton amour"
M'extraire du cadre
Ma vie suspendue
Je rêvais mieux
Je voyais l'âtre
Tous ces inconnus
Toi parmi eux
Toile
Fibre qui suinte
Des meurtrissures
Tu voyais l'âme
Mai j'ai vu ta main
Choisir Gauguin
M'extraire du cadre
La vie étriquée
D'une écorchée
J'ai cru la fable
D'un mortel aimé
Tu m'as trompé
Toi
Tu m'as laissé
Me comprommettre
Je serais "l'Unique"
Pour des milliers d'yeux
un nu de maître
Ma vie suspendue
Je rêvais mieux
Je voyais l'âtre
Tous ces inconnus
Toi parmi eux
Toile
Fibre qui suinte
Des meurtrissures
Tu voyais l'âme
Mai j'ai vu ta main
Choisir Gauguin
Et je te rends ton amour
Redeviens les contours
Je te rends ton amour
C'est mon dernier recours
Je te rends ton amour
Au moins pour toujours
Redeviens les contours
"La femme nue debout"
M'extraire du cadre
La vie étriquée
D'une écorchée
J'ai cru la fable
D'un mortel aimé
Tu m'as trompé
Toi
Tu m'as laissé
Me comprommettre
Je serais "l'Unique"
Pour des milliers d'yeux
un nu de maître
Et je te rends ton amour
Au moins pour toujours
Je te rends ton amour
Le mien est trop lourd
Je te rends ton amour
C'est plus flagrant le jour
Ses colours se sont diluées
Je te rends ton amour
Redeviens les contours
De mon seul maître: Egon Shiele et...
"Dégénération"
Sexy coma
Sexy trauma
Sexy coma
Sexy trauma
Sexy coma
Sexy trauma
Sexy coma
Sexy trauma
J'sais pas moi
Mais y faut qu'ça bouge
J'sais pas moi
Mais y faut qu'ça bouge
J'suis coma là...
Mais y faut qu'ça bouge
Faut qu'ça bouge
Faut qu'ça bouge
Sexy trauma
Sexy coma
Sexy trauma
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Test statique
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Extatique
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Test, test statiques
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Esthétique
Ou ou wa ou
Ou wa ou
Dégénération
Où où est où
Où est où est
Ma génération
Sexy coma
Sexy trauma
Sexy coma
Sexy trauma
J'sais pas moi
Mais y faut qu'ça bouge
J'sais pas moi
Mais y faut qu'ça bouge
J'suis coma là...
Mais y faut qu'ça bouge
Faut qu'ça bouge
Faut qu'ça bouge
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Test statique
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Extatique
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Test, test statiques
Coma t'es sexe, t'es Styx,
Esthétique
Ou ou wa ou
Ou wa ou
Dégénération
Où où est où
Où est où est
Ma génération
"Désenchantée"
Nager dans les eaux troubles
Des lendemains
Attendre ici la fin
Flotter dans l'air trop lourd
Du presque rien
A qui tendre la main
Si je dois tomber de haut
Que ma chute soit lente
Je n'ai trouvé de repos
Que dans l'indifférence
Pourtant, je voudrais retrouver l'innocence
Mais rien n'a de sens, et rien ne va
Qui pourrait m'empêcher
De tout entendre
Quand la raison s'effondre
A quel sein se vouer
Qui peut prétendre
Nous bercer dans son ventre
Si la mort est une mystère
La vie n'a rien de tendre
Si le ciel a un enfer
Le ciel peut bien m'attendre
Dis moi,
Dans ces vents contraires comment s'y prendre
Plus rien n'a de sens, plus rien ne va
Des lendemains
Attendre ici la fin
Flotter dans l'air trop lourd
Du presque rien
A qui tendre la main
Si je dois tomber de haut
Que ma chute soit lente
Je n'ai trouvé de repos
Que dans l'indifférence
Pourtant, je voudrais retrouver l'innocence
Mais rien n'a de sens, et rien ne va
Tout est chaos
A côté
Tous mes idéaux: des mots
Abimés...
Je cherche une âme, qui
Pourra m'aider
Je suis
D'une génération désenchantée,
Désenchantée
Qui pourrait m'empêcher
De tout entendre
Quand la raison s'effondre
A quel sein se vouer
Qui peut prétendre
Nous bercer dans son ventre
Si la mort est une mystère
La vie n'a rien de tendre
Si le ciel a un enfer
Le ciel peut bien m'attendre
Dis moi,
Dans ces vents contraires comment s'y prendre
Plus rien n'a de sens, plus rien ne va
Tout est chaos
A côté
Tous mes idéaux: des mots
Abimés...
Je cherche une âme, qui
Pourra m'aider
Je suis
D'une génération désenchantée,
Désenchantée
"C'est dans l'air"
Vanité... c’est laid
Trahison... c’est laid
Lâcheté... c’est laid
Délation... c’est laid
La cruauté... c’est laid
La calomnie... c’est laid
L’âpreté... c’est laid
L’infamie... c’est laid aussi
Les cabossés vous dérangent
Tous les fêlés sont des anges
Les opprimés vous démangent
Les mal-aimés, qui les venge?
Les calamités dérangent
Les chaotiques sont des anges
Pas comme les autres, démangent
Les bons apôtres je les mange
La fatuité... c’est laid
La tyrannie... c’est laid
La félonie... c’est laid
Mais la vie c’est ça aussi.
Tous les rebuts vous dérangent
Pourtant les fous sont des anges
Les incompris vous démangent
Que faire des ruses... Que fait le vent?
Trahison... c’est laid
Lâcheté... c’est laid
Délation... c’est laid
La cruauté... c’est laid
La calomnie... c’est laid
L’âpreté... c’est laid
L’infamie... c’est laid aussi
Les cabossés vous dérangent
Tous les fêlés sont des anges
Les opprimés vous démangent
Les mal-aimés, qui les venge?
Les calamités dérangent
Les chaotiques sont des anges
Pas comme les autres, démangent
Les bons apôtres je les mange
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est nécessaire
Prendre l’air
Respirer
Parfois piquer la poupée
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est millénaire
S’ennivrer
Coïter
Quid de nos amours passés
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est salutaire
Sauf qui peut
Sauve c’est mieux!
Sauf qu’ici, loin sont les cieux
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est nucléaire
On s’en fout
On est tout
On finira au fond du trou
Et... moi je chante
Moi je...m’invente une vie.
La fatuité... c’est laid
La tyrannie... c’est laid
La félonie... c’est laid
Mais la vie c’est ça aussi.
Tous les rebuts vous dérangent
Pourtant les fous sont des anges
Les incompris vous démangent
Que faire des ruses... Que fait le vent?
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est nécessaire
Prendre l’air
Respirer
Parfois piquer la poupée
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est millénaire
S’ennivrer
Coïter
Quid de nos amours passés
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est salutaire
Sauf qui peut
Sauve c’est mieux!
Sauf qu’ici, loin sont les cieux
C’est dans l’air
C’est dans l’air
C’est dans l’air, c’est nucléaire
On s’en fout
On est tout
On finira au fond du trou
Et... moi je chante
Moi je...m’invente une vie.
"Si j'avais au moins..."
Qui n’a connu
Douleur immense
N’aura qu’un aperçu
Du temps
L’aiguille lente
Qu’il neige ou vente
L’omniprésente
Souligne ton absence
Partout
Qui n’a connu
L’instable règne
Qui n’a perdu
Ne sait la peine
Plus de réserve, du tout
Ni dieu, ni haine, s’en fout
Plus de superbe, j’ai tout
D’une peine...
Un enténèbrement
Tous mes démons
Les plus hostiles
Brisent les voix
Les plus fragiles
De tous mes anges
Les plus dévoués
Et moi l’étrange paumée
Fiancée à l’enténèbrement...
Douleur immense
N’aura qu’un aperçu
Du temps
L’aiguille lente
Qu’il neige ou vente
L’omniprésente
Souligne ton absence
Partout
Qui n’a connu
L’instable règne
Qui n’a perdu
Ne sait la peine
Plus de réserve, du tout
Ni dieu, ni haine, s’en fout
Plus de superbe, j’ai tout
D’une peine...
Un enténèbrement
Si j’avais au moins
Revu ton visage
Entrevu au loin
Le moindre nuage
Mais c’est à ceux
Qui se lèvent
Qu’on somme «d’espoir»
Dont on dit qu’ils saignent
Sans un aurevoir, de croire
Et moi pourquoi j’existe
Quand l’autre dis je meurs
Pourquoi plus rien n’agite
Ton cœur...
Tous mes démons
Les plus hostiles
Brisent les voix
Les plus fragiles
De tous mes anges
Les plus dévoués
Et moi l’étrange paumée
Fiancée à l’enténèbrement...
Si j’avais au moins
Revu ton visage
Entrevu au loin
Le moindre nuage
Mais c’est à ceux
Qui se lèvent
Qu’on somme « d’espoir »
Dont on dit qu’ils saignent
Sans un aurevoir, de croire
Et moi pourquoi j’existe
Quand l’autre dis je meurs
Pourquoi plus rien n’agite
Ton cœur...